« La demande en injonction est rejetée faute de démonstration d’une urgence », peut-on lire dans la décision de la juge Chantal Massé, rendue ce mercredi au palais de justice de Montréal. Le jugement indique également : «Quant à l’ordonnance visant à bannir les...
» Que cesse l’occupation » No. 943
Campement à McGill contre le génocide en Palestine:
PAJU intervient dans l’injonction de McGill contre le campement étudiant
Déclaration de solidarité avec les campements sur les universités contre le génocide en cours à Gaza Palestiniens et Juifs Unis (PAJU) est solidaire des étudiants et étudiantes ainsi que du personnel enseignant de l'Université McGill et du monde entier qui...
Comment la soi-disant « gauche » néo-démocrate critique le progrès
Le sommet annuel sur le progrès de l'Institut Broadbent a évité la critique du génocide en cours en Palestine en faveur de platitudes sur la paix, la bonne gouvernance et l'innocence des colons Par Shama Rangwala Traduit de l'anglais par PAJU. * Phrases mises en gras...
La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) investit dans le génocide de Gaza
Le rapport de fin d’année de la CDPQ au 31 décembre 2023 comprend plus de 14 milliards de dollars d’investissements dans des entreprises complices de crimes de guerre et de génocide israéliens. Cela représente un peu plus de 3 % du total des avoirs de la CDPQ,...
Israël libère une députée palestinienne après 20 mois de détention
Khalida Jarrar avait été arrêtée en juillet 2017 à son domicile de Ramallah en Cisjordanie occupée par l’armée israélienne. Membre du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), un parti placé sur la liste des organisations terroristes par Israël, les États-Unis et l’Union européenne, cette députée palestinienne a passé près de deux ans en détention administrative, sans véritable procès, avant d’être finalement libérée ce jeudi 28 février.
Cette figure bien connue du Front populaire de libération de la Palestine avait déjà été incarcérée par Israël en 2015. Et un an après sa libération, la députée palestinienne a une nouvelle fois été placée en détention administrative, c’est à dire sans inculpation ni jugement.
Et donc sans connaitre les raisons de son arrestation. « Non je ne sais pas ! La détention administrative est un régime d’arrestation arbitraire, le tribunal est en possession d’un dossier qui reste confidentiel. Dans mon cas, ils disent que je suis dangereuse, c’est tout. C’est pour ça qu’il faut en finir avec ce type d’arrestations illégales. Je laisse derrière moi 350 autres Palestiniens placés ainsi en détention administrative par Israël ».
Ce régime de détention administrative est régulièrement condamné par les organisations de défense des droits de l’homme. 6 000 Palestiniens sont actuellement incarcérés dans les geôles israéliennes.
Distribué par PAJU (Palestiniens et Juifs unis)
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